Halima dans la prison spéciale partie 1

Catégories : Asian FANTASME Idées de jeux et de domination
il y a 9 ans
L'histoire qui va suivre n'est que le pur fruit de mon imagination vicieuse et perverse.

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Introduction

Halima G ,28 ans est une jeune femme élégante et pleine de conviction. Issue de la classe moyenne, filles de parents fonctionnaires, elle avait suivis de longues études, qui lui donnèrent la possibilité de devenir journaliste. Métier qu’elle exerce par conviction. Elle a toujours étée très attachée à la vie démocratique et au débat d’idées, et défend les causes lui tenant à cœur.

Halima, sans être un top modèle, est une belle femme, de beaux cheveux brun et bouclé, des yeux marrons, 1.68m pour 58 kilos avec les formes qu’il faut pour avoir du charme, de belles fesses et hanche, et une poitrine bien ronde. Elle a aussi une très jolie peaux un peu mate qu’elle doit à ses origines espagnole et tunisienne. Elle entretient une relation avec Hugh, un anglais qu’elle a rencontré lors d’un stage d’étude. Ils ne vivent pas ensemble, mais ils s’aiment et se respectent beaucoup, sans pour autant s’interdire les aventures d’un soir.

Halima mène une vie assez heureuse, elle fait ce qu’elle aime en toute liberté. Jusque à l’arrivée de grave troubles en France, une coalition de partis d’extrême droites ayant pris le pouvoir, la situation en France est très vite devenue instable : émeutes, désobéissance civile, attentats, affrontement entre miliciens des deux camps, boycott de la France au niveau européen et international. Au bout de quelques mois, la situation étant devenu très instable, l’armée et la police française étant très divisé et incapable de rétablir l’ordre public, une partie ayant fait allégeance au pouvoir extrémiste, et l’autre refusant tout ordres et toute reconnaissance à ce régime qu’elle estime être dangereux. Halima pendant la crise a toujours été fermement opposée à l’extrême droite.

Face au pourrissement de la situation, et après des dizaines de m o r t . Le reste du monde, c’est-à-dire les Etats Unis principalement décide d’intervenir. Ne nous mentons pas, il ne s’agit as réellement de restaurer la démocratie, ni même réellement la paix, mais tout simplement de profiter de la faiblesse française pour y installer un gouvernement très favorable et docile envers les USA, et cela pour un long moment.

Les armées américaines sont entrées facilement, sans réelles combats, du fait de la division des f o r c e s en présence, et de la neutralité de l’armée française. A part procéder à quelques frappes sur les bastions extrémistes de droites. Les américains ont ensuite imposé de f o r c e  aux factions française la constitution d’une assemblée, chargé d’élire un gouvernement d’union nationale. Gouvernement dans laquelle une bonne partie des leaders de l’extrême droit ont été incorporé, à condition qu’ils soient pacifiques et conciliant.

Quelque semaines après, un certains ordre est revenu, le pays recommence à fonctionné, chapoté par les américains. Le gouvernement restant autoritaire, et étant maintenu par une puissance étrangère, des manifestations éclatent par ci et par là, ainsi que des grèves , la société civile dont Halima est l’une des militante, réclame un vrai retour à la démocratie, de nouvelles élection et un calendrier de départs pour l’armée américaine.

Le pouvoir français restant ferme et comptant sur les USA, décide, au prétexte de protéger et défendre la démocratie, de décréter la loi martiale pour préserver l’ordre et la sécurité nationale

Nous somme donc s dans un France occupée militairement par les Etats Unis et sous la loi martiale. L'armée et la police militaire ont les plein pouvoir pour instaurer l'ordre et la sécurité. Tout es personnes sur de simples soupçons peut être arrêtée. La police militaire US assistée d'auxiliaires français est chargée du maintient de l'ordre. Des camps de détention spéciaux sont créer à l'occasion, de véritable prisons ou les droits de l'homme et la dignité humaine ne sont pas respectés.

L’entrée en prison

Ce jours là, une manifestation pacifique est prévue, Halima bien que solidaire du mouvement, n’y participe pas. Aujourd’hui elle prévoit d’aller chez sa copine Clara pour lui remettre quelques dossiers administratif et prendre des nouvelles.

Les soldats américains sont sur le qui-vive, ils ont pour consigne de pratiquer des contrôle d’identité au hasard, et de laisser la police française s’occuper de la manifestation et de la réprimer si nécessaire. Halima roule en direction du domicile de sa copine, manque de chance, les GI’s lui font signe de s’arrêter, elle sait qu’en cas de fuite, ils seraient capables de lui tirer dessus.

A l’arrêt, le policier militaire contrôle son identité et fouille brièvement sa voiture. Le policier fait appel au lieutenant, et ce dernier décide d’arrêter Halima, la loi martiale permettant à l’armée de maintenir en détention 40 jours renouvelables toutes personnes soupçonnées de délits politique ou de menace à l’ordre public. Elle est arrêtée sur décision du lieutenant de la police militaire. Bien qu’elle n’oppose pas de résistance, puisqu’elle se demande pourquoi, elle est menottée les mains dans le dos, et un soldat lui met une cagoule noire sur la tête et la jette à l’arrière d’un véhicule militaire dans le noir. Le voyage dure plusieurs heures, on permet juste à la jeune femme de boire un peu d’eau toute les heures. Elle est ensuite sortie du véhicule manu militairement et amener dans des bâtiments, toujours cagoulées.

Halima est menée dans un petit bureau de police, on lui retire sa cagoule, , un français lui demande son identité, si elle est bien Halima G, si elle a bien 28 ans, si elle est bien née à Evry etc. c’est un contrôle d'identité et administratif. Halima s’insurge et se demander pourquoi elle est là, de quel droit on l’arrête ainsi, qu’elle souhaite un avocat de suite, et prévenir sa famille. Le fonctionnaire français lui répond simplement que l’article 224-A de la loi martiale permet à la police militaire gouvernementale française et à la police militaire US d’arrêter toute personne sur le moindre soupçons de menaces à l’ordre public. Et qu’hormis ça, c’est à elle de répondre aux questions et et qu’elle n’a pas à en poser, et qu’elle peut oublier tout ce qu’elle réclame, elle n’a pas de droits ici. Halima continue de s’indigner, le français lui répond simplement « ta gueule bougnoule ».

Une policière vient ensuite chercher Halima, pour lui prendre ses empreintes, et prendre des photos d’elle, de face et de profil. La policière française, plus sympa que le gros con du bureau précédent, lui répond qu’elle n’a pas le droit de lui parler, et lui répète qu’elle est sous la loi martiale. La policière lui demande ensuite de vider ses poches et de lui remettre ses effets personnels, et qu’ils lui seront rendus à sa sortie qu’elle espère rapide, que c’est son métier de consigner les affaires des personnes détenues, et qu’elle en prendra soin.

Halima lui remet sa montre, ses papiers d’identité et cartes de crédit, sa bague qu’Hugh lui à offerte. La policière consigne soigneusement tout ça et le range dans un casier qu’elle referme. Elle lui dit ensuite qu’un responsable du centre de détention rencontre traditionnellement les primo entrant au centre de détention.

Halima est escorté, on lui remet sa cagoule et ses menottes pour l’amener dans une salle de sécurité, ou l’attend le lieutenant Hawks parfaitement francophone et chargé du centre de détention, ce dernier est assisté d’un gardien et d’une gardienne

Une fois dans la salle, la fin du terrible rituel d’entré l’attend.

Hawks lui demande « Vous appelez vous bien Halima G n’est ce pas ? »

Oui répond la jeune femme

  • Vous êtes sous la garde du centre de détention, ici, à partir de maintenant, vous n’avez plus aucun droit ni plus aucune existence, personnes ne sait ou vous êtes, personne ne peut rien pour vous. Et vous n’avez pas à savoir ce que nous vous reprochons. Maintenant, déshabillez vous ! vous êtes sous notre responsabilité. Rien ne doit rentrer dans le centre de détention, de plus, tout vêtements civils ou religieux sont interdit pour les détenus, nous vous remettrons ensuite un uniforme de prison réglementaire.

  • Mais ! dit Halima !

  • Il n’y a pas de discussion, nous utiliseront la f o r c e  et n’avons pas de temps à perdre.

  • Mais il y a des hommes

  • Tais toi ! lui dit Hawks, passant brutalement d’une attitude froide à une attitude ferme et v i o l ente. Je t’ais dit de de mettre nue, fout toi à poil. Ah oui j’oubliais « mes devoirs » envers vous, j’ai l’obligation de vous informer que les détenus sont sous l’autorité du personnel de la prison, et qu’ils n’ont pas d’autre choix que d’obéir, et que les prisonniers peuvent être sanctionné sévèrement. Sachez qu’a partir de maintenant, vous êtes soumise à notre autorité et que vous devez vous soumettre à nos demandes, la fouille de sécurité est obligatoire et systématique. Et que tout refus d’obtempérer pourra être punie. Alors met toi à poil trainée ! ce sera de grès ou de f o r c e  ! T’existe plus ici pétasse, tu n’es qu’un numéro.

Halima choquée est en pleure retire son chemisier beige, puis ses chaussures, une paire de converse. Elle hésite ensuite entre le retrait de son jean ou de son débardeur , elle enlève le débardeur. Le lieutenant et les garde la mate et la scrute.

  • Fais vite ! arrête de jouer la montre, tu retirera tout et le plus vite sera le mieux, dépêche toi d’être nue.

Halima ensuite retire son jean. Elle est en soutif/culotte/chaussettes devant ses gêoliers.

Arrêtez dit elle, je n’ai rien.

  • A poil

Halima pleure.

S’en est trop, les deux garde l’empoigne fermement, la plaque contre le sol, elle n’a pas le temps de se débattre, elle sent qu’on lui retire ses chaussettes et son soutient gorge en même temps. Puis sa culotte est arrachée brusquement.

Halima est nue, humiliée, en pleur mais ce n’est pas tout. Sous ma menace d’un martinet, Halima se voit ordonner de tourner nue sur elle-même, de se tourner. Ses pieds nus sont sur le béton sale et froid. Mais ça n’en reste pas là, la gardienne enfile des gants, elle lui ausculte d’abord la chevelure et les oreilles , puis le nez, lui enfonce profondément sa main dans la bouche, ça fait presque vomir Halima. Puis ses aisselles , nombril et sa poitrine sont ferment pris en main, Hawks et le gardien ne perde pas une miette de ce spectacle terriblement humiliant.

Halima doit ensuite faire des flexion, les jambes écartées et nue, sous la menace d’être battue. Son vagin et son anus sont scrutés par les trois surveillants voyeurs , elle doit se pencher et tousser aussi, pour que les surveillants vérifient qu’elle ne cache rien dans son trou du cul et sa chatte. Ecarter les fesses dans des postures honteuse …

Ses orteils sont aussi minutieusement observé, elle doit écarté les doigts de pieds et présenter sa plante de pieds.

Pour terminer, elle est contrainte de mettre les mains contre le mur, d’écarté les jambes pour que sa gardienne lui fasse une fouille anale et vaginale, cela consiste à mettre un doigt dans les orifices d’Halima, c’est terriblement humiliant pour elle de se voir v i o l er son intimité de la sorte.

L'entrée en prison passe toujours par le rituel de la fouille, et c'est particulièrement vrai dans ce camp de détention. La direction de la prison a des directives très claires : Les détenus n’ont pas le droit de faire pénétrer quoi que ce soit dans la prison, les fouilles doivent être stricte et régulière. Devoir se dévêtir complètement est une obligation pour les prisonniers. De plus, les consignes sont claires, déshabiller les détenus et détenues est aussi encouragé pour créer chez eux un sentiment d’angoisse, d’infériorité et d’humiliation pour les déstabiliser avant les interrogatoires. L’humiliation sexuelle est au cœur du système de répression

Halima est toujours toute nue, on lui remet une cagoule sur la tête, et on l’amène dans les couloirs, elle marche nue escortée par deux gardes, un homme et une femme, pour accentuer le sentiment d’humiliation et de honte. Les femmes prisonnières n’ont aucun droit à la moindre pudeur, ni au moindre respect. La plante de ses pieds nus commence à noircir.

Elle entend qu’une porte s’ouvre, on la jette nue, attachée et bâillonnée en cellule, enfin un c’est plus un cachot puant et sale. Quelques minutes après, un garde français vient l’aspergée d’eau froide, elle crie, elle hurle, on lui répond juste « tais-toi salope », et le gardien sadique en rajoute une couche, il l’asperge d’eau froid en lui disant « comme tu gueule je t’en donne plus ça veut dire que tu aimes ça ! ».

Halima, totalement désorientée a froid, elle est totalement nue et menottée les mains dans le dos, mouillée dans un petit cachot humide et obscure d’un pénitencier, elle n’arrive pas à dormir, elle est dans une position inconfortable. Elle vit un vrai cauchemar, privée de tout, honteuse d’avoir été mise nue et fatiguée de sa terrible journée.

Elle est enfermée dans un petit cachot en béton de deux mètre de long et d’un mètre de large et même pas un mètre de hauteur. Elle y est depuis plusieurs heures, le temps passe très lentement, elle a froid, le local est humide, sale, puant. On vient la chercher quelques heures après. Deux garde la tire de sa cellule et l’entraine dans des couloirs, elle est balader nue et entend pas mal de bruit.

  • Halima, nous allons vous remettre vos affaires pour la prison : deux tenus réglementaires oranges que vous devez entretenir et garder propre, deux culottes, et une paire de tongs. Tout autre vêtement est interdit. Nous vous remettons aussi une trousse de toilette. Vous devez entretenir votre cellule. Pour les activités de la prison, une assistante viendra vous expliquez dans la semaine. Prenez une douche, habillez vous, et nous vous accompagnerons dans votre cellule.

Halima passe les deux jours suivant tranquille, fait un peu connaissance avec les autres prisonnières, sa voisine de cellule s’appelle Marta, 52 ans, elle est ici pour avoir blesser son époux lors d’une dispute conjugale, elle est condamnée à 1 ans de prison, qu’elle passera dans cette prison ou les détenus condamnés et ceux qui ne le sont pas sont mélangés. Le matin du troisième jours, un garde vient chercher Halima, pour lui annoncer une visite médicale d’entrée en prison. Halima suit le garde , elle sort dans la cours de la prison pour se rendre dans les bâtiments ou se trouve l’infirmerie.

Halima est conduite au vestiaire , et on y trouve 4 autres femmes, Sarah, beurette de 25 ans, Camille 29 ans, d’origine bretonne, Annie la parisienne 32 ans et Cindy 18 ans. Ces filles sont les nouvelles prisonnière, elles sont toutes arrivée il y a moins de 10 jours comme Halima, elles sont toutes dans le même uniforme, et pieds nus dans des claquettes en plastique.

Les prisonnières reçoivent l’ordre de se déshabiller complétement, pour prendre une douche et passer les examens médicaux. Les filles se déshabille, sauf Cindy qui refuse en expliquant que ça la dérange d’être nue devant des hommes. Les gardes en place lui réponde en riant qu’ici les femmes détenues sont f o r c é es de s’exposer nues, en particulier lors des visites médicales et des fouilles, et que tout refus d’obtempérer est passible de sanctions disciplinaire.

Cindy proteste, un garde l’avertit, elle à 10 secondes pour se soumettre et se mettre nue. Le tems impartie, Cindy n’a pas bouger, les gardes lui saute dessus, lui arrache ses vêtements , sa culotte est brutalement arracher, la jeune fille est battues à coup de pieds, on lui donne aussi une fessée avant qu’un garde s’amuse à lui mettre un doigt dans l’anus et la faire crier. La jeune fille est ensuite trainée nue et bâillonnée.

Une fois l’incident terminé, les autres femmes passent sous la douche, un garde est chargé de vérifier que les détenues se lave bien le vagin, entre les fesses et sous les bras. Mesure de sécurité dit il sournoisement. C’est tout simplement pour accroitre la honte et l’humiliation des prisonnières terrifiées.

Après la douche, les filles nous attendent toutes alignées à l'entrée de la salle d’examen , Halima est appelée, elle doit passer sur une balance, pour être peser nue, puis on l’a mesure sous toutes les formes, sa taille de poitrine, etc. Puis on lui prend sa tension et son pouls. Les autres prisonnières subissent les mêmes examens, qui se déroulent sans aucune intimité. Les détenues doivent aussi subir une prise de S a n g .

Elles sont conduite ensuite dans une salle d’examen, pour subir une radio des poumons. Puis on les renvoie, toujours en les trimbalant toutes nues dans les couloirs à la vue de tout le personnel pénitentiaire et des autres détenus hommes ou femmes.

Halima est conduite dans une autre salle d’examen, ou l’attend un médecin, un vieux de 60 ans et une infirmière d’environs 40 ans. Le médecin procède à un interrogatoire médical, Halima est questionnée sur son identité, ses activités sportive, sa sexualité etc. Ceux sont des questions comme dans des visites médicales plus classique, type visite médicale du travail, universitaire etc. sauf qu’elle est nue, alors que ses visites précédentes hormis le gynéco se déroule au pire en sous vêtement. Bien que le médecin soit doux, être à poil est humiliant pour Halima.

La patiente, doit ensuite se mettre debout, nue au milieu de la pièce , sa colonne vertébrale est vérifié, elle passe aussi des tests d’équilibre tel que lever un pieds et rester droite sur une jambe etc.

Halima est invitée à s’assoir sur la table d’examen, le docteur vérifie sa dentition, et ses oreilles, regarde le blanc de ses yeux, écoute son cœur et ses poumons, en posant sont stéthoscope froid sur son dos, son ventre, en faisant attention à ne pas toucher sa poitrine. Le médecin lui palpe ensuite le ventre, et vérifier les réflexes de ses genoux, et observe ses chevilles et ses pieds.

Le médecin signale ensuite à la prisonnière, qu’il doit lui faire passer un examen gynécologique obligatoire, et qu’il doit lui palper les seins. Chose qu’il fait de façon ferme et professionnelle.

Le docteur enfile ensuite des gants pour explorer le vagin d’Halima.

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